Je voudrais proposer une suggestion uniquement parce qu’elle m’a ete utile. Chacun apporte votre qu’il a experimente de positif. J’me suis demande, ou le Seigneur m’a inspire de demander, lorsqu’une confession courte et a la hate me pesait, pourquoi ne point essayer de la faire plus longue et avec plus de calme. Cela a l’air d’un paradoxe, mais quelquefois, meme des paradoxes aident a sortir de situations bloquees. Alors, avec l’aide de quelqu’un d’autre, j’habite passe de la confession a votre que j’appellerais un dialogue penitentiel. Il me semble qu’il s’agit avant bien d’un dialogue avec un frere qui apparai®t comme l’Eglise , donc votre pretre, en qui je vois un representant direct de Dieu ; 1 dialogue fait en priant ensemble, dans lequel je presente ce que je sens en moi, en ce moment : je me presente tel que j’suis, devant l’Eglise et devant Dieu.
RECONNAITRE CE QUI M’A DONNE LE BONHEUR.
A mon avis, ce dialogue comporte essentiellement deux parties : la premie re que j’appelle « confessio laudis », c’est-a-dire confession d’apres le sens primitif du terme. La aussi, on peut partir d’un paradoxe : s’il reste chaque fois si penible et si difficile de dire mes peches, pourquoi ne pas commencer avec nos bonnes actions ? Read More
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